วันเสาร์ที่ 13 มีนาคม พ.ศ. 2553

Pont du Gard


Le pont du Gard est un pont-aqueduc romain à trois niveaux, situé dans la commune de Vers-Pont-du-Gard, près de Remoulins, dans le département du Gard (France). Il enjambe le Gardon, ou Gard. Probablement bâti dans la première moitié du Ie siècle, il assurait la continuité de l'aqueduc romain qui conduisait l’eau d’Uzès à Nîmes. Les dernières recherches montreraient que son fonctionnement cessa au début du VIe siècle.

Durant le Moyen-Âge, les piles du second étage furent échancrées et l'ouvrage fut utilisé comme pont routier. L'architecture exceptionnelle du pont du Gard attira l'attention dès le XVIe siècle, qui dès lors bénéficia de restaurations régulières destinées à préserver son intégrité. Un pont routier lui fut accolé en 1743-1747. Plus haut pont-aqueduc connu du monde romain, il a été classé monument historique en 1840[1] et inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en décembre 1985[2]. Le site a fait l'objet d'importants aménagements en 2000.



วันพฤหัสบดีที่ 25 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2553

Chutes Victoria


Les chutes Victoria sont l'une des plus spectaculaires chutes d'eau. Elles sont situées sur le fleuve Zambèze, qui constitue à cet endroit la frontière entre la Zambie, à proximité de la ville de Livingstone, et le Zimbabwe. Le fleuve se jette dans la cataracte sur environ 1 700 mètres de largeur, et une hauteur de 128 mètres. Elles donnent un spectacle particulièrement remarquable, par leur disposition particulière - elles se jettent dans une longue faille du plateau, pour s'échapper par un étroit canyon. Elles peuvent ainsi être vues de face à quelques mètres.

Découverte

Bien qu'elles fussent connues des populations locales sous le nom de Mosi-oa-Tunya, la « fumée qui gronde », David Livingstone, l'explorateur écossais qui fut le premier européen à observer les chutes en 1855, les renomma en l'honneur de la Reine Victoria du Royaume-Uni. La ville zambienne voisine est du nom de l'explorateur.

Aire protégée

Les chutes sont le lieu de deux parcs nationaux, le Mosi-oa-Tunya National Park en Zambie et le Victoria Falls National Park au Zimbabwe, et aujourd'hui l'une des principales destinations touristiques en Afrique australe.

Les chutes Victoria font partie du patrimoine mondial de l'UNESCO.




Détails

De nombreux ilots au sommet des chutes divisent le flot en une série de chutes distinctes. La brume et le sourd grondement produits sont perceptibles jusqu'à une distance d'environ 40 kilomètres. À travers les siècles, les chutes ont remonté l'aval du fleuve, s'écoulant en différents endroits des gorges, formant de nos jours le canyon escarpé et en zig-zag en aval des chutes.

La marmite, qui est le début d'une impressionnante série de gorges (80 kilomètres de long) à travers lesquelles la rivière s'écoule après les chutes, est barrée par un pont long de 198 mètres et s'élevant à 94 mètres au-dessus des eaux. Il est l'un des seuls quatre ponts franchissant le fleuve. Il est un lieu connu de pratique de benji. Le rafting est pratiqué dans les gorges en contrebas.

Pendant la saison des pluies, le fleuve charrie quelque 9 100 m3 d'eau par seconde. Pendant la saison sèche, les chutes peuvent occasionnellement être réduites à quelques cascades, et le grondement et le brouillard disparaître. À ce moment il est possible, si l'on n'est pas sujet au vertige de se baigner jusqu'à l'extrême limite de la crête.

วันอังคารที่ 16 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2553

Château de Fontainebleau

Le château royal de Fontainebleau est un château de styles principalement Renaissance et classique, jouxtant le centre-ville de Fontainebleau (Seine-et-Marne), à une soixantaine de kilomètres au sud-est de Paris, en France. Les premières traces d'un château à Fontainebleau remontent au XIIe siècle. Les derniers travaux furent effectués au XIXe siècle.

Haut lieu de l'Histoire de France, le château de Fontainebleau a été l'une des demeures des souverains français depuis François Ier (qui en fit sa demeure favorite) jusqu'à Napoléon III. Plusieurs rois ont laissé leur empreinte dans la construction et l'histoire du château, qui est ainsi un témoin des différentes phases de l'Histoire de France depuis le Moyen Âge. Entouré d'un vaste parc et voisin de la forêt de Fontainebleau, le château se compose d'éléments de styles médiévaux, Renaissance, et classiques. Il témoigne de la rencontre entre l'art italien et la tradition française exprimée tant dans son architecture que dans ses décors intérieurs. Cette spécificité s'explique par la volonté de François Ier de créer à Fontainebleau une « nouvelle Rome »[1],[N 1] dans laquelle les artistes italiens viennent exprimer leur talent et influencer l'art français. C'est ainsi que naquit l'École de Fontainebleau, qui représenta la période la plus riche de l'art renaissant en France, et inspira la peinture française jusqu'au milieu du XVIIe siècle, voire au-delà. Napoléon Ier surnomma ainsi le château la « maison des siècles »[2], évoquant ainsi les souvenirs historiques dont les lieux sont le témoignage.

Depuis 1981, le château fait partie avec son parc du patrimoine mondial de l'UNESCO. Riche d'un cadre architectural de premier ordre, le château de Fontainebleau possède également une des plus importantes collections de mobilier ancien de France, et conserve une exceptionnelle collection de peintures, de sculptures, et d'objets d'art, allant du XVIe au XIXe siècle.

Le parc et les cours
Cour du Cheval Blanc
La cour du Cheval Blanc, dite aussi « cour des Adieux » ou « cour d'honneur » de forme rectangulaire, est une ancienne basse-cour puis cour de service, qui devint très tôt une cour de parade. Elle acquit son nom grâce à un moulage en plâtre de la statue équestre de Marc Aurèle au Capitole, installé entre 1560 et 1570, disparu en 1626[10], et dont une petite dalle, dans l'allée centrale, rappelle l'emplacement. La statue avait été couverte en 1580 d'un toit pour la protéger des intempéries.
Cette cour était originairement close par quatre ailes du château, dont l'aile ouest, dite « aile de Ferrare », fut détruite et remplacée par une grille d'honneur aux décors napoléoniens (aigles en plomb doré, ornements autour du portail d'entrée) réalisée par Hurtault en 1808.
Le fameux escalier du Fer-à-cheval a été réalisé en 1550 par Philibert Delorme, mais fut refait entre 1632 et 1634 par Jean Androuet du Cerceau. Il présente une apparence comparable à celui du château d'Anet, créé aussi par Delorme.
Cour Ovale
La cour Ovale, au centre du château, tient sa forme singulière de l'ordonnancement de l'ancien château-fort, celui-ci délimitant une cour octogonale aux angles arrondis. Elle est en partie délimitée par des façades en grès sur lesquelles court une galerie continue supportée par une rangée de colonnes[31]. Elle fut considérablement modifiée sous Henri IV (celui-ci la fit agrandir à l'est et fermer par la porte du Baptistère).
Cour de la Fontaine
, et l'aile de la Belle Cheminée. La fontaine, située en face de l'étang des carpes, à l'extrémité de la cour, donnait une eau très pure, réservée au roi, d'où l'affectation de deux sentinelles à la garde de la fontaine. La fontaine, élevée en 1541 par le Primatice, était ornée d'une statue d'Hercule par Michel-Ange. Le monument actuel a été construit en 1812, et est surmonté d'une statue représentant Ulysse, exécutée par Petitot en 1819 et installée au sommet de la fontaine en 1824.
Autres cours

Cour des Mathurins
La cour des Mathurins se situe au nord du château de Fontainebleau, et a joué le rôle de cour de service dès le XVIe siècle. Son nom lui vient des premiers habitants du lieu, des religieux trinitaires, aussi appelés Mathurins. Elle est aujourd'hui aménagée en parking administratif.
Cour des Princes
La cour des Princes (ou « cour de la Conciergerie ») a reçu sa forme rectangulaire et étroite lors de l'élévation progressive des ailes de la galerie de Diane, des appartements des Chasses et de la conciergerie[84].
Cour des Offices
La cour des Offices ou « cour des Cuisines », édifiée par Henri IV entre 1606 et 1609, est accessible par une entrée gardée par deux hermès en grès réalisés par Gilles Guérin en 1640. De forme rectangulaire, elle est fermée par trois ailes de bâtiments en grès, briques et moellons au style sobre, ponctuées de pavillons trapus.
Parc et jardins
Le parc de Fontainebleau s'étend sur 115 hectares. Celui qui s'élevait sous François Ier nous est connu grâce aux dessins de Du Cerceau et à ses planches gravées dans son ouvrage ... des plus excellents bastiments de France.

Étang des Carpes

Au centre d'un vaste étang peuplé de carpes tricentenaires, dont les premiers spécimens, une soixantaine, furent offerts à Henri IV par Charles de Lorraine[86], s'élève un pavillon d'agrément octogonal à toiture basse, sobrement décoré, édifié sous Henri IV, reconstruit sous Louis XIV en 1662 et restauré par Napoléon Ier.
Le Parterre
Le « Parterre », ou « Grand jardin », ou encore « jardin du roi » a été créé sous François Ier, et retracé sous Henri IV puis redessiné par André Le Nôtre. Les bassins du Tibre et du Romulus puisent leur nom dans un groupe sculptural qui les orna successivement au XVIe et XVIIe siècles. Fondu pendant la Révolution, le Tibre, moulé à nouveau d'après l'original conservé au Louvre a aujourd'hui retrouvé sa place. Le bassin central fut orné en 1817 d'une vasque succédant à une fontaine en forme de rocher dite le « pot bouillant » qui existait à cet emplacement au XVIIe siècle. Clos de murs entre 1528 et 1533, Serlio avait imaginé pour ce jardin un pavillon d'agrément. Aménagé entre 1660 et 1664, il comportait des rinceaux formant les chiffres du roi Louis XIV et de la reine-mère Anne d'Autriche, qui disparurent au XVIIIe siècle. Les terrasses furent plantées de tilleuls sous Napoléon Ier.
Le bassin des cascades a été édifié en 1661-1662 à l'extrémité du Parterre, mais depuis le XVIIIe siècle, ne présente plus qu'un bassin aux niches ornées de marbre. Le bassin est orné en son centre depuis 1866 d'un Aigle défendant sa proie en bronze, par Cain (fonte par Vittoz)[87].

วันอาทิตย์ที่ 7 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2553

Angkor Vat

Angkor Vat ou Angkor Wat est le plus grand des temples du complexe monumental d'Angkor au Cambodge. Il fut construit par Suryavarman II au début du XIIe siècle en tant que temple de son état et capitale. Temple le mieux préservé d'Angkor, l'une des plus grande ville médiévale, il est le seul à être resté un important centre religieux depuis sa fondation, premièrement hindou et dédié à Vishnou, puis bouddhiste. Le temple est le symbole du style classique de l'architecture khmère. Il est devenu le symbole du Cambodge, figurant sur son drapeau national, et il est le lieu touristique principal du pays.

Angkor Vat combine deux bases de l'architecture khmère pour les temples : le côté temple-montagne et le côté temple à galeries. Il est conçu pour représenter le mont Meru, la maison des dieux dans la mythologie hindoue. À l'intérieur d'une douve et d'un mur externe de 3,6 km de longueur se trouvent trois galeries rectangulaires, chacune construite l'une au-dessus de l'autre. Au centre du temple se dressent des tours en quinconce. Contrairement à la plupart des temples d'Angkor, Angkor Vat est orientée vers l'ouest, probablement parce qu'il est orienté vers Vishnou.
Le temple est admiré pour la grandeur et l'harmonie de son architecture et ses nombreux bas-reliefs sculptés qui ornent ses murs. Sa beauté et sa taille sont telles que beaucoup le considèrent comme la huitième merveille du monde[1],[2]. Il donne également des indices sur l'important système hydraulique d'Angkor.
Historique

Angkor Vat fut construit dans la première moitié du XIIe siècle par le roi Suryavarman II dont le règne s'étala de 1113 à 1150. Comme le Baphûon était dédié à Shiva et que Suryavarman II honorait Vishnou, il décida la construction d'un nouveau temple au sud de la ville. Ceci pourrait expliquer que l'entrée d'Angkor Vat est orientée vers l'ouest — vers Vishnou —, contrairement aux autres temples khmers.

Le travail de construction semble avoir pris fin lors de la mort du roi, en laissant quelques-uns des bas-reliefs décoratifs inachevés[6]. En 1177, Angkor fut pillée par les Chams, les ennemis traditionnels des Khmers. Par la suite, l'empire a été restauré par un nouveau roi, Jayavarman VII, qui a mis en place une nouvelle capitale, Angkor Thom, et un temple d'État, Bayon, à quelques kilomètres plus au nord.

Au XIVe siècle ou XVe siècle, le temple fut « détourné » vers le culte de Bouddha (bouddhisme theravâda) avec un remaniement notable du sanctuaire central. Aujourd'hui encore, le temple est visité quotidiennement par des moines bouddhistes.

Parmi les temples d'Angkor, Angkor Vat fut l'un des temples les mieux conservés car, même s'il est quelque peu négligé après le XVIe siècle, il n'a jamais été complètement abandonné. Sa préservation étant due en partie au fait que ses douves fournirent une protection contre le développement de la jungle sur le site[7].

L'un des premiers visiteurs occidentaux au temple fut António da Madalena, un moine portugais qui s'est rendu sur le site en 1586 et a déclaré que le temple « est d'une telle construction extraordinaire qu'il n'est pas possible de le décrire sur papier, d'autant plus qu'il n'est pas comme les autres bâtiments dans le monde. Il a des tours, des décorations et tous les raffinements que le génie humain peut concevoir »[8]. Toutefois, le temple n'a été popularisé en Occident que dans le milieu du XIXe siècle grâce à la publication des notes de voyage du naturaliste français Henri Mouhot. Il écrivit d'ailleurs : « Qui nous dira le nom de ce Michel-Ange de l'Orient qui a conçu une pareille oeuvre, en a coordonné toutes les parties avec l'art le plus admirable, en a surveillé l'éxécution de la base au faîte, harmonisant l'infini et la variété des détails avec la grandeur del'ensemble et qui, non content encore, a semblé partout chercher des difficultés pour avoir la gloire de les surmonter et de confondre l'entendement des générations à venir ! »[9].



Mouhot, comme d'autres visiteurs occidentaux au début, a été incapable de croire que les Khmers pouvaient avoir construit le temple, et le data faussement vers à peu près à la même époque que la Rome antique. La véritable histoire d'Angkor Vat a été rassemblée à partir de seulement des données stylistiques et épigraphiques accumulées dans les travaux de restauration effectués sur l'ensemble du site d'Angkor.

Angkor Vat a nécessité de considérables efforts de restauration du XXe siècle, principalement par l'enlèvement de la terre accumulée et de la végétation[7]. Le travail a été interrompu par la guerre civile et les Khmers rouges prirent contrôle du pays pendant les années 1970 et 1980, mais relativement peu de dégâts ont eu lieu au cours de cette période de référence autres que le vol et la destruction de la plupart des statues datant des époques post-angkoriennes[10].

Le temple est devenu le symbole du Cambodge et est une source de grande fierté nationale. Depuis environ 1863, Angkor Vat est une partie intégrante du drapeau du Cambodge[11] et le seul bâtiment à apparaître sur un drapeau national[11].

Depuis 1992, tout le site d'Angkor fut classé sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO et même jugé « en péril » jusqu'en 2004[12]. En 2008, c'était le seul site cambodgien distingué de la sorte par l'UNESCO[12].
En janvier 2003, des émeutes ont éclaté à Phnom Penh où une fausse rumeur prétendait qu'une actrice thaïlandaise d'un soap opera avait affirmé qu'Angkor Vat appartenait à la Thaïlande[13].

วันพฤหัสบดีที่ 4 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2553

Grand Bouddha de Leshan


le Grand Bouddha de Leshan fut Taillé dans la falaise du mont Lingyun (signifiant à hauteur des nuages), sur la rive Est de la rivière Min Jiang (Sichuan). Edifié approximativement entre 713 et 803, Il doit son existence — dit la légende — à un moine bouddhiste qui souhaitait protéger les marins empruntant le périlleux confluent des trois rivières : Dadu, Qingyi et Minjiang (岷江) et prévenir les inondations de la ville de Leshan. Il se situe au sud de la province du Sichuan, en République populaire de Chine.

Situé dans la région du mont Emei, au Sichuan, ce site, inscrit au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco en 1996, et premier lieu d’établissement en Chine du bouddhisme (dès le premier siècle de notre ère), est, par ses dimensions, 71 mètres de haut pour 25 mètres de large,le plus grand Bouddha du monde antérieur au XXe siècle[1],[N 1], et la plus haute statue de Maitreya, avec ses 71 mètres de haut pour 28 mètres de large[2][pas clair].

Histoire


Sa réalisation débuta approximativement en 713 durant le règne de Xuanzong (712-756), de la dynastie Tang, et prit fin en l'an 803, sous l'Empereur Dezong (779-805) [3]. Sa construction fut entreprise sous la direction d'un moine du nom de HǎiTōng, abbé du monastère de LíngYún. Il espérait que la représentation de Maitreya, le Bouddha du futur[N 2], calmerait les eaux turbulentes que redoutaient les navires qui descendaient le cours du fleuve. Quand le financement du projet se trouva menacé, on rapporte qu'il se serait arraché les yeux pour prouver sa piété et sa sincérité. Il aurait ensuite passé le reste de sa vie dans une caverne, ancienne tombe abandonnée[2].

Après sa mort, cependant, la construction fut interrompue du fait de l'insuffisance du financement. Soixante-dix ans plus tard environ, un jiedushi (gouverneur militaire dans la Chine des Tang) décida de sponsoriser le projet, et la construction fut terminée par les disciples de Haitong en 803.

Il semble que la construction massive ainsi créée amena à extraire de la falaise une telle quantité de matériaux, déposés ensuite dans le lit du fleuve, que ces travaux réduisirent effectivement les remous du fleuve, rendant désormais les eaux propices à la navigation.

Restaurations

A l’origine, le Bouddha était abrité grâce à une structure en bois de 13 étages; celle-ci fût détruite lors des guerres qui eurent lieu entre la fin de la dynastie des Yuan (12711368) et le début de celle des Ming (1368 - 1644). Exposé aux vents et à la pluie, le Bouddha se désagrégea rapidement[7]. À chaque dynastie, le Bouddha de Leshan connu des travaux de restauration. Plus récemment, il a subi six importantes campagnes, sans pourtant avoir résolu tous les problèmes. En 1996, la protection du Bouddha de Leshan par l'UNESCO a attiré l’attention du monde entier. Ainsi furent envoyés par celle-ci des groupes d’experts afin d'y poursuivre des études et superviser les travaux de protection. La Banque mondiale concéda un prêt à taux zéro s'élevant à 8 millions de dollars pour l’entretien et la protection du Bouddha. 2 millions ont d’ores et déjà été employés. La protection du Bouddha de Leshan a deux objectifs, à la fois scientifique et écologique; la municipalité de Leshan à mit en place des mesures pour sauvegarder le Bouddha, parmi lesquelles l'amélioration de l’environnement aux alentours du Bouddha, notamment en réduisant les sources de pollution, en forçant les industries à quitter la zone selon un calendrier précis, en contrôlant la pollution de la rivière Min Jiang et investissant 200 millions de yuans par an dans la construction d’une autoroute. À ce jour, ces ambitions se voient être abouties.

วันพุธที่ 6 มกราคม พ.ศ. 2553

Chutes Niagara


Les chutes Niagara, communément appelées chutes du Niagara (43°4′55″N 79°4′19.5″O / 43.08194, -79.072083) sont un ensemble de chutes d’eau situées sur la rivière Niagara dans l’est de l’Amérique du Nord, à la frontière entre les États-Unis et le Canada.

Les chutes du Niagara (Niagara Falls en anglais) sont en fait triples :

-Le « fer à cheval » (Horseshoe Falls) ou chutes canadiennes ;
-Les « chutes américaines » (American Falls) ;
-Le « voile de la mariée » (Bridal Veil Falls), d’une taille moindre.

Bien qu’elles ne soient pas particulièrement hautes, les chutes du Niagara sont très larges. Avec un débit[1] de plus de 2 800 m3 chaque seconde, elles sont les chutes les plus puissantes d’Amérique du Nord[2] et certainement les plus connues[3] à travers le monde.

Les chutes du Niagara sont renommées pour leur beauté. Elles sont aussi une source immense d’énergie hydroélectrique et leur préservation est un défi écologique. Cette merveille naturelle, haut-lieu du tourisme depuis plus d’un siècle, est partagée par les villes jumelles de Niagara Falls dans l’État de New York aux États-Unis et Niagara Falls dans la province canadienne de l’Ontario.

Formation des chutes


Les chutes du Niagara, ainsi que la rivière Niagara et les Grands Lacs nord-américains, sont apparus lors de la déglaciation qui a suivi la période glaciaire du Wisconsin, il y a environ 30 000 à 50 000 ans. Pendant cette période, la région du Wisconsin était couverte par un énorme glacier continental (inlandsis laurentidien) qui en fluant vers le sud depuis le territoire canadien oriental a broyé et transporté roches et sols sur son parcours. Il a surcreusé des vallées, emplacements des futurs lacs, et en a barré d’autres par des moraines.

Pendant et après la fonte de l'inlandsis, les cours d’eau ont dû se frayer un chemin vers le nord-ouest, dans une topographie bouleversée, en incisant de nouveaux lits. La localisation actuelle du canal Welland correspondrait à une ancienne vallée. Les flots provenant des Grands Lacs en amont formèrent l’actuelle rivière Niagara. Celle-ci ne pouvant plus suivre son ancienne vallée remblayée emprunta alors un nouvel exutoire passant par un escarpement de regard nord qu'il éroda en gorges. Cet escarpement est un front de cuesta dû à un pendage monoclinal vers le sud[4] et à la résistance de la formation géologique du Lockport[5] (-415 millions d’années, Silurien), résistante à l'érosion, entre le lac Érié et le lac Ontario. La partie inférieure de l'escarpement, composée de roches marines largement antérieures à la dernière glaciation, a ainsi été soumise à l'érosion de la rivière Niagara. Trois principales formations géologiques sont à l'affleurement dans les gorges du Niagara.


La rivière nouvellement établie rencontra d'abord la résistante formation du Lockport, dont l’érosion se fit beaucoup plus lentement que celle des roches plus tendres situées en dessous. La photo aérienne montre clairement le chapeau rocheux composé de la roche dure de la formation de Lockport (Silurien moyen), en amont des rapides. Son dénivelé représente environ le tiers supérieur de la hauteur des chutes. Cette formation est composée d’une couche très dense et très dure de calcaire et de dolomite.

Les deux tiers inférieurs de l'escarpement laissent apparaître la formation de Rochester (Bas Silurien), une couche beaucoup plus tendre et friable, avec un pendage plus fort. Elle est principalement composée de marne, bien qu’entrecoupée de fines couches de pierre calcaire, et contient de nombreux fossiles. Cette couche s'érodant plus rapidement, la rivière a contourné de part et d'autre l'éminence rocheuse dure et a creusé les chutes.

Submergée sous la rivière, dans la vallée inférieure, à l’abri des regards, se situe la formation de Queenston (Ordovicien supérieur), composée de schistes et de grès fins. Les trois formations proviennent d’une ancienne mer, et leurs différents faciès sont issus d’un changement de conditions de cette mer.


À l’origine, les chutes de Niagara étaient proches du site actuel de Lewiston dans l'État de New York et de Queenston en Ontario, mais l’érosion de ces crêtes a causé le recul des chutes d’eau de quelques kilomètres. Juste en amont de l’endroit actuel des chutes, Goat Island divisa le courant de la rivière Niagara, ce qui eut pour conséquence de séparer le « fer à cheval » à l’ouest des chutes américaines et Bridal Veil à l’est. Bien que l’érosion et la récession des chutes aient été ralenties dernièrement grâce aux nouvelles technologies, les chutes vont sans doute reculer assez loin pour drainer la plupart du lac Érié, dont le fond est plus profond que la hauteur des chutes. Les ingénieurs s’efforcent aujourd’hui de réduire le taux d’érosion pour retarder cet événement aussi longtemps que possible.

Les chutes tombent d’une hauteur de 52 mètres (170 pieds), bien qu'en ce qui concerne les chutes américaines l’on ne puisse voir clairement qu'une hauteur de 21 mètres (70 pieds) avant que l'eau n’atteigne un amas de roches brisées provenant d’un énorme rocher tombé en 1954. Les chutes canadiennes, les plus larges, ont une longueur d’environ 792 mètres (2 600 pieds), alors que les chutes américaines sont larges seulement de 323 mètres (1 060 pieds). Le débit des chutes durant la haute saison est de 5 720 m3⋅s-1. Pendant l’été, lors de la déviation maximale de l'eau servant à la production hydroélectrique, le débit chute à 2 832 m3⋅s-1, dont près de 90 % passent par « le fer à cheval ». Ce débit est encore divisé par deux durant la nuit, quand la majeure partie de la déviation de l'eau à des fins hydroélectriques se produit.

Histoire des chutes


Le mot « Niagara » semble venir du mot iroquois Onguiaahra (« le détroit »). À l’origine, les habitants de cette région étaient les Ongiara, une tribu iroquoise nommée les « neutres » par des colons français, qui les trouvèrent utiles pour régler les conflits avec les autres tribus.

Selon des légendes amérindiennes, Lelawala, une magnifique jeune femme, fut fiancée par son père à un brave homme qu’elle méprisait. Plutôt que de se marier, Lelawala choisit de se sacrifier à son véritable amour He-No, le dieu du tonnerre qui vivait dans une cave derrière le « fer à cheval ». Elle amena son canoë jusqu’au rapide de la rivière Niagara et fut renversée par-dessus bord. He-No la rattrapa alors qu’elle tombait et leurs esprits seraient liés ensemble à jamais dans le sanctuaire du dieu du tonnerre, à l’abri des chutes.

Une polémique existe pour savoir quel Européen fut le premier à fournir des descriptions écrites et orales des chutes du Niagara. La zone fut visitée par Samuel de Champlain dès 1604. Des membres de son cortège lui décrivirent les spectaculaires chutes d’eau qu’il décrivit dans son journal mais qu’il n’a sans doute jamais vraiment vues. Certains attribuent au naturaliste finno-suédois Pehr Kalm la description originale manuscrite faite lors d’une expédition dans la région au début du XVIIIe siècle.




Il y existe des renseignements crédibles qui indiquent que Paul Ragueneau visita les chutes 35 ans avant Hennepin[6]. Cependant, la plupart des historiens [réf. nécessaire] conviennent que le père Louis Hennepin observa et décrivit les chutes du Niagara beaucoup plus tôt, en 1677, après avoir parcouru la région avec l’explorateur René Robert Cavelier, Sieur de la Salle, le soumettant ainsi à l’attention du monde entier. Hennepin fut aussi le premier à décrire les chutes de Saint Anthony dans le Minnesota. Il revendiqua par ailleurs avoir descendu la rivière Mississippi jusqu’au golfe du Mexique, ce qui fut ultérieurement réfuté et porta le doute sur la validité de ses écrits et croquis des chutes du Niagara.

Pendant le XIXe siècle, le tourisme devint populaire, et ce fut une des zones touristiques les plus visitées à partir du milieu du siècle. Le frère de Napoléon, Jérôme Bonaparte les visita avec sa jeune femme au début du XIXe siècle[7]. Les nombreuses réclamations pour la création d'un passage au-dessus de la rivière Niagara ont conduit, en 1848, à la construction d'une passerelle puis à la construction du "pont suspendu de Niagara" par Charles R. Ellet

Il fut supplanté, en 1855, par le « pont suspendu des chutes du Niagara » du germano-américain John Augustus Roebling. En 1886, Leffert Buck remplaça le pont de Roebling fait de bois et de pierre par un pont en acier qui aujourd'hui encore continue de transporter des trains au-dessus de la rivière Niagara. La première voûte en acier construite à côté des chutes fut achevée en 1897. Aujourd'hui connu comme le Whirlpool Rapids Bridge (pont des rapides tourbillonnants), il transporte des véhicules, des trains, ainsi que des piétons entre le Canada et les États-Unis en passant juste au-dessous des chutes. En 1941, la « Commission des ponts des Chutes du Niagara » réalisa la troisième traversée dans la région des chutes de Niagara avec le Rainbow Bridge (pont de l'arc-en-ciel), qui transporte à la fois des piétons et des véhicules[8].



Les chutes font l'objet d'innombrables histoires, une des plus intéressantes raconte le jour où elles ont cessé de couler. Le 29 mars 1848, le grondement habituel des chutes s'est arrêté. Le flot des chutes avait fait place à un mince filet d'eau. Les gens ont accouru en foule pour observer ce phénomène invraisemblable. Certains l'ont vu comme un signe que la fin du monde approchait. D'autres se sont amusés à traverser à maintes reprises le lit de la rivière, acte qui aurait normalement causé la mort de quiconque aurait tenté de le faire. On a découvert une multitude d'objets étonnants au fond de la rivière tarie, notamment des baïonnettes, des fusils, des tomahawks et d'autres artefacts datant de la guerre de 1812. Un encombrement de la rivière par de la glace s'était formé en amont, à l'embouchure de la rivière Niagara et du lac Érié, et empêchait les eaux de descendre la rivière. Pendant la nuit du 31 mars, la glace a cédé et la rivière a recommencé à couler jusqu'aux chutes.

En particulier après la Première Guerre mondiale, le tourisme a connu un nouveau boom car les automobiles rendirent l'accès aux chutes beaucoup plus aisé. L'histoire des chutes du Niagara, au XXe siècle, est en grande partie liée aux efforts faits pour capter l'énergie des chutes pour l'énergie hydroélectrique et pour maîtriser le développement effréné de chaque côté — américain et canadien — qui menaçait la beauté naturelle du site.

วันจันทร์ที่ 28 ธันวาคม พ.ศ. 2552

Budapest


Budapest (prononcée ['budɒpɛʃt] en hongrois), surnommée la « perle du Danube », est la capitale de la Hongrie depuis 1867[1]. Plus grande ville du pays, elle en est le principal centre politique, culturel, commercial, industriel et du réseau de transport[2], et elle est considérée comme une importante plaque tournante en Europe centrale[3]. En 2008, Budapest a 1 702 297 habitants[4], avec à la mi-1980 un pic à 2,1 millions d'habitants et une agglomération de 2 451 418 habitants (chiffres officiels)[5]. La ville couvre une superficie de 525 kilomètres carrés[6]. Budapest est devenue une seule ville après l'unification sur les deux rives du Danube, le 17 novembre 1873, des villes de Buda et d'Óbuda sur la rive droite du Danube, avec Pest sur la rive gauche du fleuve[7],[6].

Aquincum, à l'origine un point de peuplement celte[8], a été l'ancêtre direct de Budapest[9]. Pendant l'Empire romain, elle était la capitale de la Pannonie inférieure[8]. Les Magyars sont arrivés dans la région[10] au IXe siècle. Leur premier point d'implantation a été pillé par les Mongols en 1241-1242[11]. La ville reconstruite est devenue l'un des centres de la culture humaniste de la Renaissance[12] au XVe siècle[13]. Après près de 150 ans de domination ottomane[7], la région a repris son développement et est entrée dans une nouvelle ère de prospérité au XVIIIe et XIXe siècles. Budapest est devenue une ville mondiale après la fusion de 1873[14]. Elle est également devenue la deuxième capitale de l'Autriche-Hongrie. Budapest a été l'épicentre de la révolution hongroise de 1848, de la République des conseils de Hongrie de 1919, de l'opération Panzerfaust en 1944, de la bataille de Budapest de 1945, et de l'insurrection de 1956.


Considérée comme l'une des plus belles villes d'Europe[15],[1],[10],[16] ses sites des rives du Danube, le quartier du château de Buda, l'avenue Andrássy et le métropolitain du Millénaire, le plus ancien du continent européen, figurent au Patrimoine mondial de l'UNESCO[15],[17]. En outre, le plus vaste système de thermes souterrains au monde a été découvert à Budapest en 2008[18].La ville attire plus de 20 millions de visiteurs par an[19]. Le siège de l'Institut européen d'innovation et de technologie (IET) sera construit à Budapest[20].

Histoire


L'histoire connue de Budapest remonte à la ville romaine d’Aquincum, fondée aux alentours de 89 sur le site d'un ancien campement celte, proche de ce qui allait devenir Óbuda. De 106 jusqu'à la fin du IVe siècle, elle est la capitale de la province de la Pannonie inférieure (en latin Pannonia).

Vers 896, les Magyars colonisent la région sous le commandement d'Arpad, et viennent peupler le bassin pannonien, ainsi que le secteur d'Óbuda. La Hongrie est fondée un siècle plus tard, en l'an 1000, avec le couronnement de son premier roi, Étienne Ier, canonisé sous le nom de saint Etienne. Malgré sa destruction presque totale suite à une invasion mongole en 1241, et le déplacement de la résidence royale à Visegrád en 1308, la ville devient la capitale du pays en 1361.

La conquête de la majeure partie du pays au XVIe siècle par l'Empire ottoman interrompt la croissance de la ville. Pest tombe aux mains de l'envahisseur par le sud, en 1526. Buda, défendue par son château, connaît le même sort 15 ans plus tard. Alors que Buda devient le siège d'un gouverneur turc, Pest est désertée par une grande partie de ses habitants lors de sa reconquête en 1686 par l'armée impériale menée par Charles V de Lorraine, les Habsbourg étant restés rois de Hongrie depuis 1526, malgré la perte de la majorité du pays.

Au cours des XVIIe et XVIIIe siècles, malgré une inondation dévastatrice en 1838 qui fit 70 000 morts, Pest connaît le plus fort taux de croissance grâce à un commerce très actif, contribuant très majoritairement à la croissance combinée des trois villes. En 1900, sa population dépasse celles de Buda et Óbuda réunies. Au cours du siècle suivant, la population de Pest sera multipliée par vingt, alors que celles de Buda et d'Óbuda seront quintuplées. En 1780, l'allemand est introduit comme langue officielle par les Habsbourg.



La fusion des trois villes sous une administration commune prend effet une première fois en 1849 sous l'impulsion du gouvernement révolutionnaire, avant d'être révoquée après la reconstitution de l'autorité Habsbourg. Elle est entérinée définitivement en 1873 par le gouvernement royal autonome hongrois issu du compromis austro-hongrois de 1867. La population totale de la capitale unifiée est multipliée par sept sur la période 18401900, atteignant 730 000 habitants.

Au cours du XXe siècle, la plupart des industries du pays venant se concentrer dans la ville, la croissance de la population se poursuit, touchant principalement l'agglomération. Ainsi, la population de Újpest est plus que doublée sur la période 18901910, et celle de Kispest est quintuplée entre 1900 et 1920. Les pertes humaines liées à la Première Guerre mondiale et la perte importante de plus des deux tiers du territoire de l'ancien royaume en 1920 ne causent qu'un trouble temporaire : Budapest demeure la capitale d'un État certes plus petit mais désormais souverain. En 1930, la ville compte un million d'habitants, plus 400 000 en agglomération.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, les juifs sont rassemblés dans le ghetto de Budapest. Environ un tiers des 250 000 habitants juifs de Budapest meurent suite au génocide nazi perpétré pendant l'occupation allemande de 1944. Malgré cela, Budapest est aujourd'hui la capitale européenne qui a le ratio de citoyens juifs par habitant le plus élevé. En 1944, le diplomate suédois Raoul Wallenberg a sauvé au moins 10 000 juifs hongrois. À la fin de la guerre, la vieille ville fut reconstruite pierre par pierre. Budapest avait été presque entièrement détruite par les bombardements : 74 % des habitations et 97 % des usines avaient été ravagées. Au 1er janvier 1950, l'agglomération de Budapest connaît une expansion significative : de nouveaux arrondissements sont créés à partir des villes voisines. Durant les années 1950 et 1960, la ville se remet du siège soviétique de 1944, devenant, dans certaines limites, une vitrine de la politique pragmatique pratiquée par le gouvernement communiste du pays (1947-1989).

C'est durant cette période qu'a été fondé l'institut de Loczy, une crèche reconnue mondialement pour ses méthodes de communication et d'éducation envers le nouveau-né. La démocratisation est stoppée par l'insurrection de Budapest et l'intervention militaire de l'Union soviétique qui, selon les chiffres officiels publiés par le gouvernement après la chute du communisme, a fait 20 000 victimes dans la population civile, et entraîné l'exil de 160 000 citoyens hongrois [réf. nécessaire].

À partir des années 1980, Budapest, tout comme l'ensemble du pays, connaît une émigration croissante couplée à une décroissance naturelle de sa population.
En 1989, suite à des manifestations répétées, le pouvoir communiste tombe, laissant place à une démocratie parlementaire.